Ricky / 26th février, 2009 / 12:08

Ambiance glauquesque à la Ozon, Ailes de bambins pourtant crébibles, Alexandra fait du mieux qu’elle peut, et pourant… comme l’art d’éviter l’action, on planne dans le non évennement, dans l’art du statique… perso et spectateurs sont mal à l’aise, attendant la fin, et décu de ce dénouement qui part en fumée.


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